Thème indémodable qui traverse l’histoire du cinéma d’animation, la résistance conserve toute sa pertinence dans le contexte actuel où mondialisation et culture de masse favorisent l’uniformisation des idées.
Le programme que nous avons préparé renvoie à la résistance dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale, mais il ouvre également sur la résistance iranienne, incarnée ici par le cinéaste dissident Jafar Panahi. Quelques films nous entraînent même dans des univers imaginaires, à travers des récits d’anticipation (Un beau matin) ou tout simplement fantaisistes (L’Homme à la Gordini).
Ce programme témoigne de l’engagement social et politique des cinéastes d’animation et se situe dans la lignée du programme des années précédentes sur l’animation citoyenne.