Les studios d’animation font face à des forts besoins financiers et sont confrontés à des décisions stratégiques de croissance.
Activité porteuse sur le long terme, l’animation aiguise les appétits d’investisseurs privés et le secteur voit se dessiner de nouvelles alliances.
Le recours à du financement externe est-il dès lors la solution la plus adaptée ? Entre partenaires industriels ou investisseurs financiers, y a-t-il un modèle plus opérationnel qu’un autre ?