Les détenteurs de marques ou les éditeurs sont de plus en plus nombreux à ne plus licencier leurs propriétés à des producteurs tiers, mais à devenir directement producteurs de contenus, voire opérateurs de canaux de distribution.
Quelles sont les raisons avancées par ces sociétés pour justifier une telle démarche et quels en sont les impacts aussi bien économiques qu’artistiques ?