Ils sont distingués par les plus prestigieuses sélections internationales, ils régénèrent perpétuellement la créativité de tout l’écosystème de l’animation, et pourtant, les courts métrages d’animation sont des œuvres de plus en plus difficiles à produire en France et de moins en moins exposées sur nos écrans.
Quels sont les défis à relever par le secteur et nos institutions afin de préserver le genre ?